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2025 - TRAVAUX EN COURS
Une rencontre improbable : exploration des cellules souches saines selon C
Ce projet a fait l’objet d’une porte ouverte le 24 mai 2025 à mon atelier de L’Usine La Rolland, à Sainte-Adèle.

Mise en œuvre
L’historique de ce projet découle d’une rencontre humaine que rien ne laissait présager. Pourtant, des circonstances multiples et improbables m’ont conduite à accompagner C, une jeune femme en fin de vie, atteinte du cancer du cerveau.
Elle, architecte et violoncelliste à ses heures ; moi, artiste et bénévole aux miennes. De rencontre en rencontre, nous avons découvert plusieurs champs d’intérêt en commun. Il y a eu notre admiration pour Bach (notamment Suites pour violoncelle seul), des échanges autour d’un film marquant (Les ailes du désir, de Wim Wenders), l’infinie beauté du bleu surréaliste de Chagall, un café savouré dans les rues de Florence, et bien d’autres.
Devant l’effroi de la fin éminente, je lui ai fait une promesse : celle de créer une installation où des cellules saines semblables à celles qu’elle m’avait dessinées danseront sur un fond bleu Chagall. C’est alors que son regard s’est enfin illuminé.
Hôpital de Ste-Agathe, Pavillon K, 6 juin 2024
Description du projet
Ce projet d’exposition consiste en une œuvre installative. Elle revisite le geste de graver sur plexiglas par la réalisation de dix matrices vouées habituellement à l’impression de l’estampe. Celles-ci sont disposées de manière circulaire à même le sol. Du microcosme au macrocosme, c’est-à-dire de la structure d’une cellule souche jusqu’aux confins de l’univers en passant par la représentation du cerveau, ces œuvres explorent le monde des cellules souches.
Au mur, la réalisation de dix estampes numériques cousues et issues des œuvres viendront boucler ce projet.
Cette installation, qui utilise principalement l’estampe, repose sur l’hybridité des moyens d’expression, alliant formes organiques de plâtre (support des œuvres au sol), plaques en plexiglas (au sol) et estampes numériques cousues (à réaliser ultérieurement).
Le point de départ visuel des plaques gravées repose sur deux dessins réalisés par K. qu’elle m’a offerts.
Bases théoriques du projet de recherche création
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Une perspective existentielle : ma rencontre avec C.
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